Comme l’a rappelé notre premier
Ministre, François FILLON, la campagne de calomnie et de dénonciation lancée
par la gauche à l’encontre d’Eric WOERTH est tout simplement inacceptable !
Le pouvoir politique en place, quel
qu’il soit, essuie toujours la critique et les attaques. Exercer le pouvoir est
avant tout un devoir et une charge. Mais lorsque la ligne jaune est franchie,
lorsque du champ des idées on passe à celui des attaques personnelles
infondées, au mépris de la présomption d’innocence en accréditant et relayant des accusations sans
preuve, une limite est franchie ! On propage alors la rumeur et la
calomnie. C’est à ce jeu, triste spectacle d’une opposition qui depuis des
années est caractérisée par la vacuité de son corpus politique, que la gauche
française joue aujourd’hui. Il s’agit de l’honneur d’un homme, il s’agit du
respect le plus élémentaire que l’on doit à tout citoyen. Je soutiens, au même
titre que la totalité de mes collègues, Eric WOERTH. A travers lui, c’est aux
réformes du gouvernement que la gauche, chaque jour plus pauvre du point de vue
intellectuel, s’en prend. Sans rien proposer elle attaque, gratuitement. Le
gouvernement et nos ministres se doivent d’être exemplaires. C’est fait pour
deux d’entre eux. François FILLON a réaffirmé la solidarité de la majorité à
l’égard du Ministre du travail. On mesure la grandeur des hommes au plus fort
de la tempête. De leur capacité à conserver leur sang froid dépend l’avenir de
l’équipage. Avec le Président de la République, François Fillon maintiendra ce
cap. Les grandes réformes, comprises de l’opinion, seront portées jusqu’au bout.
Je pense particulièrement aux efforts considérables que nous mettons en œuvre
pour assainir nos finances publiques, alors que la gauche n’a jamais fait de
proposition sérieuse en vue de réduire notre déficit. Je pense aussi à la
réforme des retraites, reforme majeure, comprise des Français et à laquelle la
gauche ne sait que s’opposer sans proposer, de la façon la plus stérile qui soit.